Comment protéger la biodiversité ?
Des gestes et des choix
Respecter l'eau, l'air, le sol, c'est participer à la préservation de la biodiversité. Dans notre vie quotidienne, la préserver, c'est d'abord consommer moins et mieux.
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Des gestes et des choix
Respecter l'eau, l'air, le sol, c'est participer à la préservation de la biodiversité. Dans notre vie quotidienne, la préserver, c'est d'abord consommer moins et mieux.
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La menace que nous exercons sur la Biodiversité.
L’Homme, considéré jusqu'à présent comme l’être vivant le plus puissant, menace de plusieurs cotés la biodiversité. Premièrement, l’Homme est nomade, contrairement aux autres animaux il à la capacité de vivre partout. Il n’a aucun territoire en particulier, mais tous lui appartiennent. L’Homme vit partout, et peut s’installer partout sans se soucier de tous les êtres vivants qui peuplent déjà l’espace.
L’Homme engendre de la pollution par ce qu’il crée et a créé. Cette même pollution détraque l’écosystème et nuit aux espèces qui peuplent notre planète.
Prenons l’exemple des marrées vertes. Elles sont dues à l’agriculture, au rejet dans l’eau de l’engrais et des pesticides. Nous aurions pu l’éviter.
Les divers espaces dits, encore, « verts » sont amenés à disparaître accompagnant avec eux la vie qu’ils soutenaient. L’Homme ne peut plus s’arrêter de construire toujours plus. De détruire encore et toujours. Un bulldozer éradiquera en une minute se que la nature bâti depuis la nuit des temps. Et alors ? L’Homme s’en fiche, ne culpabilisera pas. Puisque tout cela est fait dans son intérêt, pourquoi se sentir coupable ? Quelques bien pensants bâtiront des parcs zoologiques artificiels. Ils recréeront les habitats sauvages de certains animaux pour les préserver. Néanmoins ces parcs sont entourés de béton. Nous ne disons pas que ces parcs sont « mal ». Seulement, si nous avions résisté à l’envie de tout détruire, en aurions nous réellement besoin ?
L’Homme ne va pas, bien que souvent, toujours brûler les forets avec un jerrycan d’essence, il ne va pas toujours anéantir les espèces fusil et sacs en plastique en mains, il ne va pas directement jeter sa planète sur le barbecue. Et pourtant, par le biais de ses actions, l’Homme reste responsable de tout cela. La fumée des usines, les rejets de Co² des voitures, les sacs en plastique dans l’océan, et tout le reste de ce qu’on appelle « pollution », contribuent à menacer la biodiversité.
Que chacun donne un coup d'pouce.
"Une campagne « Des pixels pour la biodiversité »
L’association Noé Conservation lance, à l'occasion de la Journée mondiale pour la biodiversité, le 22 mai 2007, la campagne « Des pixels pour la biodiversité ». Cette opération vous propose d’adopter, sur le site www.despixelspourlabiodiversite.org, un emplacement afin d’ériger un mur d’images pour la sauvegarde de la biodiversité, et de faire un don à Noé Conservation. Une approche nouvelle et ludique pour sensibiliser le grand public à la cause de la défense de l’environnement !
Un million de pixels sont ainsi disponibles. Chacun peut placer sur le mur de la biodiversité son logo, son nom ou son image. Ce mur virtuel d’images exprime notre volonté de stopper l’érosion de la biodiversité.
Lorsque le mur de la biodiversité sera rempli, un pixel sera tiré au sort. Le gagnant pourra participer à une mission de sauvegarde de la biodiversité au coté des équipes de Noé Conservation.
Donc voilà, ce sont mot pour mot les paroles et les explications que ce site peut nous donner. Il ne vous reste plus qu'une chose à faire...Vos dons !
Pourquoi?
Mais quelles sont les principales causes de ces disparitions ?
De nos jours, il existe plusieurs explications. Comme la destruction et le morcellement de l’habitat naturel d’une grande majorité d’espèces, l’introduction d’espèces étrangères, par exemple par les colons il y a plusieurs années, dans des milieux inhospitaliers, pouvant créer des dérèglements de chaîne alimentaire, et les enchaînements d’extinctions. Ce dernier point est assez important et se base sur le principe de « l’effet papillon ». En effet à la disparition d’une espèce aussi peu significative pour nous que le cafard, il se pourrait que les autres espèces se situant au dessus de lui dans la chaîne alimentaire disparaissent à leur tour.
Quand on a commencé.
A l'époque d'Aristote, les hommes tentaient de répertorier les plantes et les animaux. En l'an 2008, ils sont loin d'avoir achevé ce travail de Titan. Et il y a fort à parier qu'ils n'y parviendront jamais, même si scientifiques et chercheurs d"or vert" ne ménagent pas leurs efforts.
Nous partageons certaines convictions qui nous poussent à croire que jamais nous n'aurons sondé entièrement la totalité des Océans. Que jamais nous ne verrons ce monde microscopique de sous nos pieds. Et que jamais la forêt Amazonienne n'osera nous dévoiler tous les secrets qu'elle héberge.
Mais une chose est sûre, que ce soit dans 10 ans, dans 100 ans, ou dans 1000 ans, nous continuerons d'essayer, quel qu'en soit le prix.
La Biodiversité, en chiffres.
La biodiversité c’est simplement les 30 à 100 millions d’espèces d'êtres vivants qui peuplent notre planète. Enfin c’est un chiffre plutôt vague, car actuellement seules entre 1,5 et 1,8 millions de ces espèces sont répertoriées. Parmi ces espèces on compte près de 1 250 000 animaux de toutes sortes, 300 000 plantes, de 74 000 à 120 000 champignons, 29 600 algues en tous genres, 36 600 êtres dits « simples »